9 novembre 2007 : le temps est à la gaieté
 
Super, le mois de novembre.
Ses feuilles mortes, ses journées courtes, de plus en plus courtes, ses cimetières, ses mots roses.
Bref, pour vous remonter le moral, je vous ai fait un vrai ou faux sur... La mort au cinéma. Génial, non ?
 
Sinon, je ne sais pas ce qui leur prend, à la télé, mais on a l’impression que Stanley Kubrick est mort une deuxième fois. Ils passent tous ses films. A moins que ça ne soit un anniversaire quelconque. Cette semaine, trois Kubrick, dont 2001 l’odyssée de l’espace. C’est un film qui ne parle pas d’amour. Ça, c’est sûr. Mais c’est tout de même un monument. Sauf qu’à la télé, ça risque d’être tout petit. Le monolithe, le célèbre monolithe peut vous casser la télé. Faites attention aux enfants et aux chats, en cas d’implosion.
 
Sinon, côté films dans les salles, je suis un peu en retard dans mes commentaires. Tant pis, ce sera pour la prochaine fois. Sauf que mercredi prochain, c’est la grève des trains, alors pas de ciné à Paris pour moi. Vacheries de gauchistes. Heureusement que Nicolas S. est là, il va sans doute venir me chercher avec sa voiture super rapide, il fait tout, il peut faire ça aussi. J’espère qu’il me ramènera après les séances.
 
Donc, pour les films, il y a rien que des déceptions : le Woody Allen est triste et pas drôle, et même un peu ennuyeux; l’heure zéro la comédie policière de Pascal Thomas louée par les critiques de journaux dits intellectuels est plutôt poussiéreuse, et le dernier gang n’est pas terrible non plus. Enfin, c’est à vous de voir, et de me dire ce que vous en pensez...
 
Paranoid Park, ça vous a inspiré : pas moins de quatre commentaires ! Et de toutes les couleurs, en plus. Continuez, hein, j’adore ça !
 
Et puis, je sais que vous l’attendiez, tous les films de 2005 sont en ligne. Comment ça, vous n’en avez rien à cirer ? Je me suis bien pris le chou avec moi même, allez voir du côté des films de 2005, il y en a pas mal qui commencent à passer à la téloche, sur le câble ou sur le satellite ou sur je ne sais pas trop quoi.
 
À la prochaine, bisous brouillasseux au milieu des feuilles jaunes
 
Bon ciné.
 
al 1