Et donc, le mois de novembre continue, avec son cortège de lourdeurs... Après le vrai ou faux, le film sur la mort. Enfin, plutôt sur le deuil. La forêt de Mogari est un film complètement prenant, ou terriblement ennuyeux, c’est selon chacun. Mogari, en japonais, il paraît que ça veut dire deuil, et aussi lieu du deuil.

Youp la boum.

 

Il y a aussi dans le genre pas gai, Dans la vallée d’Elah. Lourd, américain, super digne, et quand même vachement bien. Parce que ça, les américains, ils savent faire, le lourd, le digne, qui fait pleurer et tout et tout...

 

Cronenberg n’est pas tout à fait américain, il est canadien. C’est peut être ça qui fait la différence, ses films sont tout de même des oeuvres très étonnantes, admirables à plus d’un titre. Mais attention, si vous ne supportez pas la violence au cinéma, passez votre chemin, les scènes violentes ne sont pas nombreuses dans Les promesses de l’ombre, mais elles sont énormes.

 

Darling, c’était le petit film français plein d’espérances, il en tient quelques unes, mais pas toutes. Si vous êtes fan de Marina Foïs, ça ne suffira pas. Il faut s’accrocher à son personnage, et c’est pas gagné...

 

Et puis, un grand merci public à Thierry D., qui m’a conseillé d’aller voir Never forever (beau titre, intraduisible). Beau film, vraiment; qui parle des choix de vie, essentiels.

 

 

 

Bon ciné.

 

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