19 juillet 2007 : alors ça y est, c’est l’été
 
Alors ça y est, l’été est arrivé ?
 
Une mise à jour du site très estivale, avec un TEST, comme dans les magazines qu’on achète (ou pas) l’été, pour faire passer le temps sur la plage, ou pour rigoler entre amis. Comme ça n’a pas été très facile de le faire, ce test à la noix, j’espère que vous allez y passer du temps. Vous m’en direz des nouvelles…
 
Autre bêtise estivale, les piscines. Comme je n’allais pas faire un diaporama de toutes les jolies pépées qu’on peut vaguement voir au bord des piscines dans les films américains, j’ai vaguement essayé d’être vaguement plus intello en faisant un vrai ou faux sur les piscines (à vagues).
Si vous avez tout bon, il y a une récompense à la fin. Enfin, surtout pour les hommes.
 
Côté films, c’est toujours pas la joie. Julie Delpy ne sait toujours pas si elle est française aux états unis et heureuse d’y être, ou américaine et revenant en France pour voir si elle y serait plus heureuse, ou bien encore ni américaine, ni française et malheureuse de ne pas savoir où elle serait le plus heureuse.
Half Nelson, pas mal, mais il faut bien dire que je ne peux pas être très objectif sur un film abordant des sujets qui me tiennent à cœur, les profs et les relations quasi-filiales entre un enfant et un adulte qui n’est pas son père.
 
Sinon, si vous ne l’avez toujours pas vu, laissez-vous tenter par le scaphandre et le papillon. Un des plus beaux films depuis le début de l’année.
 
Vous pouvez aussi voir Persepolis, il y a pas mal de commentaires élogieux sur ce film, et même si je ne l’ai apprécié que modérément, il ne faut pas toujours m’écouter : je dis quand même pas mal d’âneries…
 
Vous constaterez que Dominique P et Pierre L, les deux plus grands commentateurs de ce site (si vous ne les connaissez pas, sachez qu’ils font tous les deux bien plus qu’un mètre quatre-vingts), sont allés se coltiner  LE film du début d’été que je n’irai jamais voir, même si on me payait, je parle de Die hard (à prononcer daille-arde, et non di-arde, c’est de l’anglais, pas de l’allemand).
Je les attends pour l’autre film de l’été, le dernier aripoteur, je ne sais même plus à quel numéro il en est, ce brave petit gars. Toujours est-il que celui-là non plus, je n’irai pas !
 
Et puis il y a un commentaire de l’une de mes élèves sur Shrek, qui n’a pas sa langue dans sa poche. Elle n’a que sept ans, mais sait distinguer les gens bien élevés des autres, nom d’un petit cochon (voyez sa parenthèse).
Je l’adore.
 
La prochaine mise à jour risque d’être lointaine, puisque je pars un peu longtemps, dans le sud, là où il fait chaud (je dis ça pour ceux qui ont déjà pris leurs vacances début juillet en Bretagne, 10° sous la pluie c’était bien ?). Allez, je pense à vous.
 
Bisous à tous, même aux garçons poilus, mais quand même surtout aux jeunes femmes en robes légères.
 
Bon ciné !