Terminator, c’est exactement le contraire de ce qui arrive aux suites. D’habitude, elles sont toujours mauvaises. Là c’est le contraire. Le premier était plutôt tarte, le deuxième beaucoup mieux, et celui-ci, le troisième, verse dans l’auto-parodie, et c’est assez fendard. Arnold est même parfois à hurler de rire. Bien sûr, ce n’est pas une comédie de haut vol, mais un dimanche soir, avant de replonger pour une semaine de turbin, ça peut faire du bien.