Le film narre l’incroyable destin d’Alexandre le grand. Au début, lorsque ce jeune homme se met en tête de conquérir le monde, on croirait Bush (George, le président américain) apportant la civilisation et la liberté à tous ces barbares ignares. Le roi Darius, ennemi d’Alexandre, a d’ailleurs des faux airs de Ben Laden. Puis, lorsque la déchéance et la folie s’emparent du personnage, le scénario devient plus intéressant, la mise en scène restant très lourde, avec éléphants, hémoglobine, figurants et effets numériques. Au final, deux heures trente un peu longues.